Une lecture enthousiasmante, une plongé dans le subconscient
et l'inconscient de nos sociétés humaine.
C'est une vraie frappe sur l’épaule avec un Kyosaku qui réveille une conscience qui s’endormait durant
une méditation assise (Zazen).
À lire cet essai d'Emmanuel Todd sur ses travaux, on pénètre
le subconscient et l'inconscient de nos humanités collectives. Il m’a offert un
nouveau sens pour comprendre ce que nous sommes, ce que nous avons été et ce
que nous pourrions désirer pour nous même collectivement.
Cela me laisse songeur et plein d'espoir. Une fois qu'on
accepte nos différences on sait que l’on peut négocier notre avenir entre
nation, entre éduqué supérieur et nos socles solide qui ne le sommes pas. Accepter
que nous appartenions aux mêmes mondes avec des regards et des sens très
différents.
Emmanuel Todd est un véritable artiste et réussit à exposer
ses travaux avec la limpidité et la clarté indispensable à notre compréhension.
Maintenant je comprends nos difficultés avec l’Europe.
Effet secondaire, deuxième effet Kiss Cool
À la lecture, il m’est apparu que l’esprit critique ne peut
se développer que sur l’écrit, peu sur l’image ou sur le son. L’esprit critique
ce construit à partir de cœur de nous-même, au plus profond de nous.
L’écrit est une seringue qui l’atteint le centre alors que
les arts visuels ou sonores ne sont que des pommades restant en superficie. Il
est vrai que la musique et le théâtre peuvent préparer le terrain.