lundi 27 février 2012

Sur la voie de Bamiyan


Soldat sans décurie, assis sur le talus
Son regard limpide appelle l’eau du désert
Mars Arès se tient en dieu penseur sans pensée
Il contemple l’homme et revoie les Thermopyles
Le soldat se lève prend le chemin d’Bamiyan
Matlubeh attend son soldat sa jouissance
Le dieu asséché reste sans revoir Marathon